11 décembre 2024
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Est-il possible de rendre nos blogs de généalogie visibles ?

Nous n’allons pas nous mentir : nous souffrons presque tous du manque de visibilité de nos blogs de généalogie.

J’entends bien que nous écrivons d’abord pour nous-mêmes et pour quelques fidèles, mais avouez que nous nous réjouissons toujours – de façon parfois irrationnelle pour ma part – lorsque certains billets touchent un public plus large que leur cible microscopique habituelle.

Photo reine avec une couronne générée par IA


Vanité des vanités, tout n’est que vanité. J’ai donc décidé de prendre le taureau par les cornes pour essayer de sortir mon blog de la confidentialité absolue à laquelle je l’astreins depuis plusieurs mois années.

Je découvre un monde nouveau et les résultats peineront à venir, s’ils viennent.
Loin de moi l’idée de faire un cours complet de communication, de SEO (Search Engine Optimization) ou que sais-je. Internet regorge d’importants spécialistes de la question. Certains sont très professionnels et pragmatiques tandis que d’autres, qui le sont beaucoup moins, vous promettent monts et merveilles et oseille. Tout cela grâce à votre blog !

Néanmoins, si on vous laisse entrevoir la possibilité de transcrire le testament de votre ancêtre échevin au bord d’une piscine à débordement à Dubaï, restez méfiant. Cela ne me paraît pas une projection très réaliste.

La médication

  • La première solution, c’est de publier du contenu et, si possible, du contenu qualitatif (facile à dire). C’est tellement évident qu’on finit par l’oublier. Je l’ai moi-même parfaitement oublié, à tel point que le blog est longtemps resté déserté de son auteure et de ses lecteurs.

    La participation régulière à des challenges généalogiques tels que le challengeAZ permettent de promouvoir nos écrits et nos ancêtres. C’est indéniable. Pour ma part, ce n’est pas possible chaque année tant l’investissement que cela me demande est important, surtout qu’il me faut absolument faire long et compliqué.
    Quoiqu’il en soit, il existe d’autres occasions d’écrire et publier car, oui, il faut PU-BLIER pour être lu.

  • La seconde solution que j’ai mis longtemps à découvrir ou à accepter, c’est qu’il faut plaire aux moteurs de recherche.

    Quand on parle de moteurs de recherche, on parle principalement de Google. Il faut qu’il nous remarque, qu’il indexe nos articles et qu’il les indexe bien. Je n’apprends rien à ceux parmi vous qui êtes déjà attentifs à tout cela depuis des années et qui agissez en conséquence.
    Je vais plutôt m’adresser à vous autres qui, comme moi, n’avez pas encore découvert l’eau chaude et qui voudrez bien.

Comment séduit-on Google ?

C’est une vaste question. Certains en ont fait un métier. Je vais donc rester à mon niveau de grande débutante et rendre compte de ce que j’ai à peu près compris.

D’abord, il est important de revêtir son blog de ses plus beaux atours : choisir avec attention un nom de blog original et cohérent avec son sujet, adopter un nom d’url explicite, cibler le ou les mots-clés en lien avec le contenu etc.

Google doit comprendre rapidement de quoi on parle pour mieux orienter ses questionneurs. C’est tout bête, mais j’ai appris, par exemple, qu’il est préférable que le mot blog apparaisse dans l’url des blogs. Préférable, cela ne veut pas dire obligatoire, surtout si le reste est bien lisible. Vous trouverez mille exemples qui le démontrent.

De mon côté, c’est un peu râpé, mais je ne vais pas revenir là-dessus. Comme si cela ne suffisait pas de se réveiller tardivement, je pars avec des points en moins : un livre à succès intitulé Le jour d’avant est paru un an après l’ouverture de mon blog. Pas de bol.
À ce stade cependant, j’aurais quand même envie de citer un certain Patrick Chirac : « Pourquoi c’est moi qui changerais ? »

Ensuite, il faut organiser ou réorganiser la présentation de son blog pour qu’il soit le plus cohérent et lisible possible. Pas seulement pour Google, mais aussi pour les visiteurs afin qu’ils s’y sentent bien et qu’ils reviennent.
Il est possible procéder à des ajustements sur le thème général, la structure du menu et, pourquoi pas, sur le classement des articles passés sans pour autant se lancer dans une refonte complète.

Quelques exemples de remaniement en vrac :

  • redéfinir les noms des catégories et sous-éléments dans son menu pour bien ranger ses petits billets. Tout le monde doit trouver sa place dans la mesure du possible. Sous WordPress que j’utilise, c’est assez simple de modifier et de déplacer les différents éléments dans la structure du menu.
    Ce sera d’ailleurs l’occasion de faire un peu de ménage dans les catégories s’il y en a trop ou si certaines ne vous semblent plus pertinentes.

  • Oubliez les étiquettes. Les spécialistes disent que ça ne sert à rien, sinon à plomber le référencement. J’exagère car c’est certainement plus subtil que ça. J’ai compris en tout cas que cela ne vaut pas la peine d’y consacrer beaucoup de temps.
    Si vous souhaitez absolument les garder (on aime tous les étiquettes), il faudrait alors désactiver leur indexation par les moteurs de recherche et c’est possible grâce à des extensions.
    Je viens de loin et je n’en ai gardé qu’une finalement pour ma tambouille interne.

  • intégrer un fil d’ariane ou breadcrumb pour aider les robots de Google et les visiteurs à s’orienter dans l’arborescence du blog. C’est très bien si vous avez plusieurs catégories, sous-éléments, pages etc.

    Illustration avec le fil d’ariane du site des Archives Départementales des Hautes-Pyrénées, qui devrait être remercié chaudement d’ailleurs pour l’ensemble de son œuvre.

  • éditer les métadonnées des articles de blog. Ces informations descriptives « cachées » de vos articles doivent normalement aider les moteurs de recherche à les référencer. Ce sera votre plus gros chantier si vous avez beaucoup publié dans le passé.

    Ces informations doivent être précises par rapport au contenu. Je comprends donc qu’il faut éviter le général, le flou artistique, les envolées poétiques… C’est triste sans doute, mais on est dans les métadonnées, on s’adresse à Google et il n’est peut-être pas nécessaire d’y mettre de la poésie.
    Vous connaissez déjà cela avec les photos numériques : vous prenez une photo et vous avez la possibilité de modifier les métadonnées en ajoutant quelques précisions : qui ? quoi ? où ? Ces informations restent transparentes pour ceux qui regardent la photo.


Il existe plusieurs autres astuces pour augmenter ses chances auprès des moteurs de recherche, mais je ne me sens pas encore suffisamment informée pour toutes les passer en revue.
J’en ai repéré quelques unes comme la création d’un maillage interne, qui consiste à créer des liens entre les différentes pages de votre blog. C’est une opération qui ne me semble pas compliquée à comprendre et à exécuter, surtout si on l’a déjà fait « naturellement » par le passé.

Phase d’attaque

On va donc rhabiller notre blog et nos articles pour l’hiver. Pour ce faire, il existe une extension dans WordPress qui permet de retravailler les métadonnées de nos petits billets pour qu’ils soient mieux référencés. C’est en tout cas la promesse qui en est faite. Un phare dans la nuit noire.

L’extension WordPress en question s’appelle Yoast SEO, mais il doit en exister beaucoup d’autres. C’est le premier que j’ai trouvé, mais peut-être aussi parce qu’il a un bon positionnement. Un signe ?
Inutile de préciser que ce post n’est aucunement une opération commerciale, vous pensez bien qu’ils auraient choisi quelqu’un d’autre.

Une fois installée et activée, Yoast SEO propose donc d’intervenir sur les metadonnées en bas de chaque article.
Voici un exemple avec l’un de mes articles publié à l’occasion du challenge AZ 2022 « R comme Rovinj » :

Extrait Yoast Seo

Certains champs de l’extension Yoast SEO sont déjà saisis, d’autres non. J’ai mis en lumière les 4 qui mériteraient une attention particulière :

  1. La requête cible ou mot-clé qu’il m’a fallu saisir systématiquement.

    Le bonhomme passe au vert-tout-sourire, alors c’est gagné. Le terme lui paraît juste par rapport au contenu qu’il a examiné.
    Ici, j’ai essayé « Rovinj » car je parle de la ville de Rovinj en Croatie. Si je saisis « Marc Vidot », le nom de mon ancêtre originaire de Rovinj, il reste vert également. « Vidot Croatie », c’est parfait aussi selon lui. À moi donc de faire un choix.

    Pour le cas où le bonhomme passe au rouge-pas-content, il est conseillé de trouver un autre mot-clé.

    Le bonhomme orange-poker-face, c’est moyen. Faute de mieux, vous pouvez garder le mot-clé saisi, surtout si rien de plus intéressant ne vous vient à l’esprit. Il faut bien évidemment rester le plus proche possible du contenu de l’article.

    La version gratuite de Yoast SEO n’autorise qu’une seule requête cible tandis que la version payante permet d’en renseigner 5. Est-ce que cela change foncièrement quelque chose au référencement ? Aucune idée.

  2. Le titre SEO qui n’est pas le titre de votre article, mais le titre optimisé pour les moteurs de recherche.
    Il est possible de garder le même titre que celui de l’article. Il apparaît même par défaut avec la possibilité d’ajouter quelques variables comme la catégorie de l’article.

    Pour l’article sur Rovinj, j’ai décidé de garder le titre réel de l’article. Si vous avez la fâcheuse tendance à choisir des titres réels très généraux ou un peu « folklo » qui semblent éloignés des contenus, il est préférable de modifier les titres SEO.

    Ainsi, le titre de mon article « #Sosa2023, ce qu’elle nous a laissé » n’est visiblement pas un titre SEO optimisé. Ça ne parle pas. Le sujet de mon article, c’était en gros : la chapelle Notre Dame du Rosaire de Saint-Louis, un héritage de mon ancêtre Barbe Payet. Ce pourrait être le titre SEO car une phrase plus précise, presque journalistique.
    En passant, tout ceci pourrait aussi donner à réfléchir sur la façon dont on rédige.

  3. Le slug est la partie de l’URL de votre page qui permet aux moteurs de recherche d’identifier rapidement son contenu. Autant vous dire qu’il est important. Il faut donc qu’il soit précis et facile à lire.

    Je ne l’ai pas modifié sur l’article de Rovinj:

    À l’avenir, il faudra vraiment que je sois attentive à la longueur de ces slugs. Je m’interroge aussi sur l’intérêt de garder la date de publication de l’article dans le lien. Comme je n’ai pas spécialement envie de briser tous mes permaliens, c’est en stand-by pour le moment.

  4. La meta description est un résumé de l’article. Il est possible de reprendre le titre SEO plus haut et d’y apporter des précisions. Par défaut, on trouve : le titre du site, le titre de l’article, la catégorie etc.

    De manière générale, mes résumés par défaut ne résument pas les contenus réels des articles 🥲
    Il faut donc que je les modifie pour qu’ils aient leurs chances auprès de Google et, en bout de chaîne, auprès des humains en quête d’un sujet qui aurait été traité sur le blog. Si le résumé est bien rédigé, il est censé attirer les visiteurs.

    Autre remarque : les robots ont une préférence pour les adjectifs pompeux du type « extraordinaire », « fascinant » ou « captivant » puisque Yoast SEO valide pleinement ces mots.
    Sachez qu’il est possible de s’en passer. Je peux comprendre qu’ils ne soient pas au goût de tous, mais personnellement, je n’ai pas trop de problème avec ça dans la mesure où les histoires de mes ancêtres étaient effectivement extraordinaires, fascinantes, captivantes. Je n’ai pas trop l’impression de les trahir.

    Pour les titres SEO comme pour les meta descriptions, il faut faire ni trop court, ni trop long et viser dans le mille. Certains choix sont parfois cornéliens.
    À noter qu’avec la version payante de Yoast SEO, une intelligence artificielle va générer automatiquement des titres et résumés déjà optimisés pour les moteurs de recherche. Il sera possible de tout changer si rien ne vous convient. Honnêtement, tout n’est pas à jeter avec l’IA (not all AI) et, pour l’avoir testée, celle-ci a donné des résultats convaincants. Il est entendu qu’on reste toujours maître à bord.

Pour finir, il n’est pas possible à mon niveau de faire le tour de tous les moyens d’optimisation d’un blog. De nombreux sites, tutoriels et vidéos accessibles au grand public permettent d’avancer graduellement.
De mon côté, il s’agit pas de tout remettre en question, mais d’améliorer l’existant par petites touches. Cette entreprise d’optimisation nécessite du temps pour s’informer, réfléchir, tester, corriger. J’ai l’impression d’en être qu’aux prémices et d’avoir tout à découvrir.

Si cela ne fonctionne pas, cela aura au moins permis de prendre un peu de recul, d’élargir son champs de connaissances et de s’interroger sur la façon dont sont construits et rédigés certains blogs ou sites web, notamment les sites d’autorité. Je suis devenue très attentive à la forme que prennent les publications des sites d’actualités par exemple 🙂.

L’important pour nous, généalogistes blogueurs, c’est quand même de continuer à écrire et à publier les résultats de nos enquêtes généalogiques. Les aides à l’optimisation peuvent donner un coup de pouce (j’attends encore de voir), mais ne remplaceront jamais nos recherches et notre plume.

Lejourdavant

Généalogiste amateur originaire de l'île de la Réunion

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19 réflexions sur « Est-il possible de rendre nos blogs de généalogie visibles ? »

  1. Que de bons conseils dans cet article ! Si je regarde mon blog, je suis à la fois rassurée de ne pas être complètement à côté de la plaque, et affolée par l’ampleur du reste à faire, c’est bizarre comme sensation 🤣
    Il faudrait surtout que je me remette à publier régulièrement car entre deux challengeAZ il ne se passe plus grand chose…

    1. Coucou Christelle,
      Idem, il faut d’abord penser à l’écriture, mais sans se mettre trop de pression non plus (pas gagné !).
      Pour le SEO, j’espère que cela deviendra un réflexe surtout pour les futurs articles. Pour le passé, j’essayerai d’y revenir petit à petit. Il n’y a rien d’insurmontable heureusement 🙂

  2. Bonjour et bravo pour cet article qui s’attaque à l’exercice difficile d’expliquer le SEO. Oui, c’est une science qui demande de la curiosité, de l’adaptabilité et de la patience. D’autant plus que Google change régulièrement les règles du jeux en modifiant le poids des critères pour intégrer le graal de la 1ere page de résultats.
    Si je peux me permettre 1 conseil : il faut toujours se placer à la place de l’utilisateur qui cherche sur Google. Rien ne sert d’être 1er sur une requête qui ne sera jamais recherchée. Il faut donc toujours partir d’une recherche possible d’un généalogiste avant de décider du titre, des sous-titres et du sujet d’un article ou d’une page.
    Bonne journée,
    Laurent

    1. Bonjour Laurent,
      Merci d’abord pour ce commentaire encourageant et merci également le conseil sur les requêtes.
      Je suis parfois très étonnée de découvrir les termes recherchés par les utilisateurs qui atterrissent sur mes articles. C’est une source d’infos intéressante, ça aide à les comprendre un peu mieux.
      Même si on écrit avant tout pour « nous », on voudrait toutes et tous que cela reste accessible et que cela aide aussi d’autres internautes.

  3. Merci beaucoup pour cet article ! Ce vaste sujet me paraît un peu moins obscur, et je vais essayer d’intégrer certains éléments pour les prochaines publications.
    Petite question : Etiquettes et Mots-Clés, c’est la même notion ?
    Ma phrase préférée : « je n’ai pas trop de problème avec ça dans la mesure où les histoires de mes ancêtres étaient effectivement extraordinaires, fascinantes, captivantes ». J’adore !

    1. Coucou Marthe et merci beaucoup pour ce commentaire !
      Etiquettes et mots-clés ce sont deux choses distinctes.
      Les étiquettes permettent de classer ses articles. Je peux peut-être ajouter un exemple propre : dans ma catégorie « Familles réunionnaises », j’avais plusieurs étiquettes comme « pirates », « esclaves », « primo-arrivants » etc.
      C’était pour mieux repérer tous les articles liés à ces populations.

      Les mots-clés, ce sont les mots et les expressions les plus importants de ton article, ceux qui vont les représenter le mieux.
      J’ai compris que, dans l’idéal, ce ou ces mots-clés doivent être présents dans le titre de l’article.

  4. Je devrais très certainement suivre tes judicieux conseils, mais j’avoue que cela me semble insurmontable et je préfère faire autre chose que de passer des heures à améliorer la visibilité de mon blog, tant pis pour moi ! Et comme toi, je ne sais pas faire autrement que long et compliqué, tout me prend des heures, parfois des jours, parfois des mois pour les recherches et l’écriture, je ne suis pas une rapide non plus, alors pour l’instant je vais laisser mon blog voguer au gré du vent. Je comprends cependant parfaitement que cette question de visibilité puisse se poser et tu poses bien le problème. Je te souhaite succès et efficacité dans tes améliorations et tout plein de visiteurs !

    1. Coucou et merci pour ton commentaire.
      Une fois qu’on a compris comment cela fonctionne, ça ne prend pas des heures. Heureusement car sinon j’aurais laissé tomber depuis longtemps !
      J’y vais par petites touches. Quand j’ai quelques minutes, je jette un œil à un article pour voir ce que ça donne.
      Le plus long, ce sont toujours les recherches, les questionnements, l’écriture, la réécriture. Là-dessus je te rejoins complètement et je crois qu’on forme un petit club avec quelques autres 🙂
      C’est aussi ce qu’il y a plus passionnant et c’est pour ça qu’on continue 🙂

  5. Merci pour cet article très pédagogique sur le référencement d’un blog. Je n’osais pas trop installer d’extension de peur de faire des « bêtises ». Vous m’avez rassurée et éclairée sur l’usage de Yoast SEO. Un grand merci.

    1. Bonjour Véro et merci pour ce commentaire encourageant !
      J’apprends aussi au fur et à mesure et je risque aussi d’en faire des bêtises, mais rien n’est grave et irréversible. Heureusement 🙂
      Concernant l’extension, il existe des vidéos qui montrer comment installer et utiliser l’extension pas à pas.

  6. Très intéressant, mais cela me semble encore compliqué. Il faut que je me renseigne pour savoir comment mettre en place sur Blogger ce que tu préconises.

  7. bonsoir,
    article fort instructif qui m’ouvre de nouvelles perspectives que je vais étudier pour voir comment les mettre en application ;
    merci pour votre travail de recherche ;
    Catherine

  8. Petite question : êtes vous sur WordPress.com ou sur WordPress.org ?
    perso je suis sur WordPress.com, et pour installer la version gratuite de Yoast on me demande la bagatelle de 500€… Il faut avoir la version pro payante de WP.com pour pouvoir installer des extensions gratuites. Du coup je songe à passer sur WP. org, sans être certain que ce soit une bonne idée. Surtout au beau milieu du ChallengeAZ…

    1. Bonjour Nicolas,
      Merci pour le commentaire encourageant 🙂
      C’est bizarre qu’ils vous demandent 500€ pour l’instant, elle est normalement gratuite. Il y a une juste une option premium pour bénéficier de services en plus (notamment l’IA). Je n’ai pas installé wordpress.org qui est un logiciel si j’ai bien compris.

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